On 10/4/2012, Asahi newspaper reported 25,000 Bq/Kg was measured from macaques.
Even though it dropped once, radioactive material is still accumulated.
In April last year, researchers from Nippon Veterinary and Life Science University (NVLU), along with other institutions, began sampling muscle tissue of wild Japanese macaques caught in the provincial capital, Fukushima, for radioactive cesium content.
The concentrations ranged between 10,000 and 25,000 becquerels per kilogram immediately after the nuclear crisis began to unfurl the month before.
The readings fell to 500-1,500 becquerels per kg in June, but rose again to more than 2,000 becquerels per kg from last winter to spring.
The seasonal variations presumably occurred because the macaques ate leaf buds, which are said to absorb radioactive cesium in high concentrations, the scientists said.
2012年10月4日、朝日新聞はサルから25,000 Bq/Kgの放射性セシウムが検出された事を報道しました。一旦は値が下がっても、放射性物質は蓄積し続けます。
昨年4月、日本獣医生命科学大学(NVLU)などの研究者は、放射性セシウム量を調べるために福島市内で捕獲した野生のニホンザルから筋組織を採取し始めました。
前月に原発事故が起きた直後のセシウム濃度は、10,000 ~ 25,000 Bq/Kgでした。
6月には500~1500 Bq/Kgにまで値は下がりましたが、去年の冬から春にかけて再び2,000 Bq/Kg超にまで上昇しました。
季節による変動の原因は、植物が吸収した放射性セシウムが濃縮すると言われている木の芽をサルが食べたからかもしれない、と研究者らは述べました。
Iori Mochizuki
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Français :
25 000 Bq/kg sur des macaques en avril 2011, c’est descendu une fois mais ça remonte à nouveau jusqu’à ce printemps
Le 4 octobre 2012, le journal Asahi rapporte que 25 000 Bq/kg ont été relevés sur des macaques.
Même si c’est redescendu une fois, la radioactivité s’accumule toujours.
En avril de l’an dernier, des chercheurs de la Nippon Veterinary and Life Science University (NVLU, Université Nippone des Sciences Vétérinaire et de la Vie), ainsi que d’autres institutions, ont commencé un échantillonnage de tissus musculaires de macaques sauvages pris dans la province de la capitale, Fukushima, pour en suivre la radioactivité en césium.
Les concentrations s’étagent entre 10 000 et 25 000 becquerels par kilogramme immédiatement après que la crise nucléaire ait commencé à se répandre, à partir du mois suivant.
Le relevés sont redescendus à 500 – 1 500 becquerels par kg en juin mais ont recommencé à monter pour dépasser les 2 000 becquerels par kg à partir de l’hiver dernier jusqu’au printemps.
Les variations saisonnières sont vraisemblablement dues au fait que les macaques mangent des bourgeons de feuilles, lesquels sont connus pour concentrer fortement le césium radioactif par absorption, selon les scientifiques.