Note : If you are from the international mass media, Don’t read this site before taking a contact with me.
The contaminated water management team of Japanese government is watching the international media coverage to control.
The team belongs to Ministry of Economy, Trade and Industry. It is to supervise Fukushima decommissioning and contaminated water issue.
From the material of their latest meeting of 12/18/2013, they discussed how the international media covered Fukushima issue after this August.
For example, they picked up the article of Le Monde on 8/27/2013 that Japanese government remains passive to Fukushima issue but more forward to restart other nuclear plants or export it. Also, the article of the Washington Post on 10/22/2013 was picked up that the contaminated water is affecting the wildlife and the food chain, least Japanese people believe the government to say controlled discharge is safe.
Because the meeting wasn’t broadcast, it is not clear what they concluded. However, considering that their material mentions their past measures for the international media coverage such as “giving a briefing to Tokyo correspondents”, it is likely that they discussed the future countermeasures for the media coverage.
Either way, it became clear that Japanese government is watching the international media coverage and paying attention to the influence.
http://www.meti.go.jp/earthquake/nuclear/pdf/131218/131218_01e.pdf
http://www.meti.go.jp/earthquake/nuclear/20131218_01.html
Iori Mochizuki
I reject the international mass media to read this site without taking a contact with me.I know some of the mass media corporations read Fukushima Diary to understand the trend so they know when to report about Fukushima as if they were independently following it for a long time.
In short, they make you individual readers pay for this site while they pay nothing, and when they publish the “authorized news”, you pay for the “secondhand news”, which is nothing new for us.
This site is free for the individual readers, but not for corporations.In the world, this site is nearly the only source about Fukushima. I came here alone without any supporting organizations, background or anything. I’m not pleased to be exploited by the corporations that didn’t even properly report about Fukushima when 311 took place.
I demand them to take a contact with me BEFORE reading this site whatever the purpose is.
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Français :
Le gouvernement japonais surveille la couverture médiatique internationale sur Fukushima : Le Monde, le Washington Post, le Guardian, etc.
Note : Si vous êtes de la grande presse internationale, ne lisez pas ce site sans avoir préalablement pris contact avec moi.
L’équipe gouvernementale de gestion du problème des eaux extrêmement radioactives surveille la couverture de la presse internationale.
C’est une équipe du ministère de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie. Elle supervise le démantèlement de Fukushima et le problème des eaux extrêmement radioactives.
Selon les éléments de leur dernière réunion du 18 décembre 2013, ils ont discuté de comment la presse internationale a couvert Fukushima depuis le mois d’août.
Par exemple, ils ont pris un article dans Le Monde du 27 août 2013 disant que le gouvernement japonais reste passif sur le problème de Fukushima alors qu’il pousse au redémarrage des autres centrales ou à en vendre à l’export. Un article du Washington Post du 22 octobre 2013 a été retenu parce qu’il pointe que les eaux extrêmement radioactives impactent la vie sauvage et les chaînes alimentaires et que les japonais croyant le gouvernement quand il dit que les déversements mesurés sont sûrs se comptent sur les doigts de la main.
Leur conclusions ne sont pas évidentes parce que leur réunion n’a pas été publiée. Néanmoins, en considérant que leurs éléments parlent de leurs précédentes mesures concernant la couverture médiatique internationale, comme “donner des instructions aux correspondants à Tokyo”, il est hautement probable qu’ils aient parlé des leurs future solutions concernant la couverture de la presse.
De toute façon, il devient clair que le gouvernement japonais surveille la presse internationale et fait attention à son influence.
J’interdis à la grande presse internationale de lire et d’utiliser ce site sans préalablement prendre contact avec moi. Je sais que certaines grandes sociétés de presse lisent le Fukushima Diary pour comprendre la tendance et trouver quand rendre compte de la situation de Fukushima comme s’ils la suivaient indépendamment depuis longtemps.
En résumé, ils vous font payer à vous, simples lecteurs, ce qu’ils prennent gratuitement dans ce site et lorsqu’ils publient des “nouvelles de première main” vous payez pour des “nouvelles resucées”, qui n’ont rien de nouveau pour nous.
Ce site est gratuit pour les lecteurs individuels, pas pour les sociétés. Ce site est pratiquement la seule source au monde sur Fukushima. Je viens ici seul sans aucun soutien d’organisation quelconque, ni références, ni rien. Je n’apprécie pas de me faire exploiter par ces sociétés qui n’ont même pas été foutues de relater correctement ce qui se passait à Fukushima quand a eu lieu le mois de mars 2011.
Je leur demande de prendre contact avec moi AVANT de lire ce site dans quelque but que ce soit.